Le Collectif Féministe Contre le Viol

But : “ Lutter contre le sexisme sous toutes ses formes et effectuer des recherches scientifiques, historiques et culturelles nécessaires pour cette lutte ”.

Notre action pour les droits des femmes et contre le sexisme s’articule autour des points suivants :
1. Libre disposition de son corps.
2. Autonomie financière.
3. Halte aux violences à l’encontre des femmes.
4. Lutte contre la montée de l’Ordre moral (Islamisme, Opus Dei, intégrisme juif orthodoxe).
5. Solidarité avec les femmes du monde, victimes du patriarcat, des intégrismes, des conflits armés ou de la mondialisation.

Présidente Fondatrice : Docteure Michèle Dayras
Siège social :
2 rue du Bel Air (Im. Wagner)
92190 – Meudon Bellevue
[email protected]
T/F : 33 (0)1 4626 1482

Bibliothèque Olympe de Gouges :
2 rue du Bel Air (Im. Le Nôtre)
92190 – Meudon Bellevue
[email protected]
T/F : 33 (0)1 4626 7136

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Nous sommes un groupe de 11 étudiantes qui avons décidé, au mois de mai 2009 de créer un nouveau magazine féminin et féministe. Notre but, conserver certaines des formes de ce type de presse, adopter un ton assez mordant, parfois léger et ajouter à tout cela plusieurs dossier de fond, qui touchent aux question de genre, de sexualité, d’histoire des luttes féministes.
Notre but n’est pas de rester « entre nous » mais bien d’accueillir un maximum de femmes (et d’hommes) qui ont envie d’écrire sur ces sujets…toutes les idées étant les bienvenues bien entendu. La plus grande difficulté de notre projet, le budget. En effet pour des raisons de visibilité et également du point de vue du public que nous visons, il nous semble essentiel d’exister en format papier… Nous voulons certes que les militantes et les féministes viennent à nous, mais nous voulons surtout aller vers l’ensemble des femmes. Le meilleur moyen était alors d’être chez les coiffeurs, dans les salles d’attente, dans les gares…et dans les sacs à main.
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Elu/es contre les violences faites aux femmes » est une association nationale créée en 2003 par et pour des élu/es. Elle soutient et forme les élu/es, de tout niveau territorial et de tout parti politique, engagé/es contre les violences faites aux femmes. Elle mène aussi auprès des collectivités territoriales des actions de sensibilisation et d’information.

En février 2009, l’association a été agréée organisme de formation pour élu/es par le Ministère de l’Intérieur. Elle organise localement des journées de formation dont les objectifs sont d’arriver à une meilleure compréhension de ce que sont les violences et à acquérir une méthodologie de construction de politique publique dans ce domaine.

Mail: [email protected]

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« SOS inceste pour revivre » est une association d’intérêt général, créée en 1994.
Ses missions sont: accueillir, écouter et accompagner les personnes victimes d’inceste et leurs proches.
Au téléphone: 02 22 06 89 03, au local: tous les premiers et troisièmes lundis du mois de 18h30 à 20h30 ainsi que tous les mardis et jeudis de 14h à 17h. Groupe de parole mensuel. Actions d’information-sensibilisation pour tout public adulte et jeunes adultes. Forum sur le site internet. Adresse e-mail: [email protected].

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Le Planning Familial est un mouvement militant, féministe et d’éducation populaire qui défend le droit à la contraception, à l’avortement, à l’éducation à la sexualité et lutte contre toutes les formes de violences faites aux femmes. Créé en 1956, il inscrit son action pour une société plus juste, fondée sur l’égalité, la mixité, la laïcité et le respect entre les femmes et les hommes. Il a pour objectif de promouvoir l’accès à l’information pour tous et d’accueillir les personnes, quel que soit leur sexe, leur âge ou leur situation ; d’écouter sans juger, d’accompagner dans la décision en respectant leur vécu et leur expérience.

Conformément à ses objectifs statutaires, Le Planning lutte contre l’oppression spécifique des femmes, contre toutes formes de discrimination et de violences, notamment sexuelles, dont elles sont l’objet. C’est en cela, un mouvement féministe. Il s’appuie sur une analyse des violences induites par les inégalités des rapports sociaux de sexes. Cette approche montre que ces inégalités ne sont pas fondées sur les différences biologiques entre les sexes mais sur la hiérarchisation des différences. L’émancipation des femmes aurait pu contribuer à réduire les violences à leur encontre mais les violences de genre résistent obstinément aux progrès des droits des femmes y compris dans les pays dits « développés »

Pour faire reculer ses crimes, il est nécessaire de prévenir par la prévention et changer les mentalités par la mise en place des séances d’éducation sexualisée. Travailler avec les enfants et les jeunes sur les représentations du corps, du sexe et surtout déconstruire les représentations des rôles et de la place des hommes et des femmes dans la société et dans les relations interpersonnelles sont des leviers formidables pour prévenir les violences dans les relations filles/garçons mais aussi contre toutes les discriminations homophobes, lesbophobes ou racistes. Cette approche de genre développe l’analyse critique des modèles et des rôles sociaux et lutte contre les stéréotypes sexuels qui ligotent les mentalités et nourrissent les violences faites aux femmes.
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La Coordination française pour le Lobby Européen des Femmes (CLEF) a été créée en 1991, avec pour objectif de rassembler les associations féminines et féministes françaises et de porter au sein du Lobby Européen des Femmes (LEF) les positions et propositions élaborées collectivement. La CLEF est également une ONG avec statut consultatif auprès du Conseil économique et social de l’ONU (ECOSOC) participant à la Commission du Statut des Femmes des Nations Unies.

Regroupant plus de 80 associations adhérentes intervenant sur toute la palette des droits des femmes, la CLEF oeuvre pour la reconnaissance et la mise en acte de l’égalité des femmes et des hommes afin qu’ensemble ils construisent une société responsable et solidaire.

Contact :
CLEF – Coordination française pour le Lobby Européen des Femmes
6 rue de la Rochefoucauld 75009 Paris
Tel. : 01 55 50 45 64
Email : [email protected]

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Réseau pour l’autonomie des femmes immigrées et réfugiées

Le RAJFIRE, Réseau pour l’autonomie des femmes immigrées et réfugiées, est un collectif féministe qui lutte pour les droits des femmes étrangères, immigrées, demandeuses d’asile ou réfugiées. Il a été créé en 1998 mais fait suite à d’autres initiatives féministes ayant existé antérieurement. C’est une association militante, indépendante de tout parti ou institution.
Nos objectifs sont l’autonomie, l’égalité, la solidarité internationale, la liberté, les droits et l’égalité pour toutes les femmes dans tous les domaines et partout dans le monde. Nous nous efforçons de mettre en oeuvre des solidarités en particulier pour les droits des femmes étrangères en France, migrantes ou exilées. Nous défendons le droit d’asile des femmes persécutées, le droit au séjour, la régularisation des femmes sans papiers, le droit au travail. Nous luttons contre les violences faites aux femmes, les injustices et les inégalités auxquelles les femmes sont confrontées.
c/o Maison des femmes, 163 rue de Charenton, 75012 Paris
contacts et permanences : mardi 16h30-20h à la Maison des femmes
tel : 01 44 75 51 27 – mail : [email protected]

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La Paille et le Mil est une association de solidarité internationale qui oeuvre pour une information et une sensibilisation des gervaisiens (habitants du Pré Saint Gervais dans le 93) et en particulier des enfants des écoles, des collèges et des centres de loisirs par des échanges autour des problèmes qui se posent ici et ailleurs sur les questions de solidarité.

C Comme COMPAGNIE : compagnie théâtrale, bonne compagnie, compagnonnage, compagnes. Mais aussi complices.
I Comme INSOUMISES : lesbiennes oblige. Mais aussi comme imaginatives.
B Comme BAL(L)ADINES, baladins : créativité. Mais aussi ballades.
E Comme ENTHOUSIASTES.
L Comme LESBIENNES. Comme Libres.

COMPAGNIE DES INSOUMISES, BAL(L)ADINES,
ENTHOUSIASTES ET LESBIENNES

QUI SOMMES-NOUS ?

CIBEL peut se décliner en plusieurs dimensions :
Une dimension militante lesbienne et féministe.
Une dimension culturelle et créative où le plaisir d’être et de faire ensemble prédomine.
Une dimension nationale par le désir de travailler dans et pour la Coordination Lesbienne, c’est la raison pour laquelle les Cibel ne sont pas seulement franciliennes, mais aussi picardes, champenoises, bretonnes, angevines, et nous en espérons d’ailleurs encore.
Une dimension d’amitié et de confiance, par un recrutement coopté.
Nous sommes assoiffées du pouvoir d’être nous-mêmes, de construire et de nous AMUSER.

Nos ambitions sont à la hauteur de nos désirs.
Et vogue la galère de l’amitié sur les ondes de l’imaginaire !

[email protected]

Questions d’égalité est une association féministe basée à Rennes. Son champ d’action se situe dans la promotion d’une réelle égalité entre les femmes et les hommes. Pour construire une société réellement égalitaire nous avons choisi d’axer nos projets sur la diffusion soutenue des analyses sur les rapports hommes-femmes et les inégalités.
Conférences, publications, colloques, spectacles sont les moyens que nous utilisons pour faire le pont entre la recherche universitaire, les analyses militantes et les publics.
Nous voulons rendre accessibles les savoirs au plus grand nombre et à un public le plus divers possible. Pour que chacun et chacune puisse s’emparer des débat et contribuer ainsi à construire une société non sexiste.

[email protected]
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la Fédération nationale GAMS lutte depuis 1982 contre les Mutilations Sexuelles Féminines et les Mariages Forcés. Pour ce faire :
– Elle forme des professionnels sociaux, médico-sociaux, éducatifs et judiciaires ;
– Elle anime des séances d’information et de prévention en direction de publics divers ;
– Elle accompagne et soutient les jeunes filles, les jeunes femmes et les femmes menacées ou victimes de ces violences.

Le GAMS est joignable à son siège social au 01 43 48 10 87 ou [email protected]

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Fondé en 1972 à l’initiative de l’État, le Centre National d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles – CNIDFF, association nationale signataire d’un contrat d’objectif avec l’État, est un relais essentiel de l’action des pouvoirs publics en matière d’accès aux droits pour les femmes, de lutte contre les discriminations sexistes et de promotion de l’égalité entre les femmes et les hommes.

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L’Association Paroles de Femmes, créée par Olivia Cattan, œuvre depuis Cinq ans à promouvoir l’égalité hommes-femmes, lutter contre la précarité et contre toutes formes d’exclusion. Cela signifie lutter contre toutes formes de discriminations faites aux femmes, au sein de la société, protéger les femmes contre toutes les violences physiques et psychologiques.

Des actions concrètes
Recenser les inégalités, recueillir les témoignages de ces femmes, les accueillir dans les permanences de l’association, les accompagner dans leurs démarches administratives, assurer une permanence téléphonique pour les femmes en difficultés et SDF afin de leur trouver un foyer d’urgence ; Dispenser des cours d’égalité et de prévention contre les violences dans les collèges difficiles, intervenir dans les centres de détention pour adolescents.

Aujourd’hui l’urgence est de construire des « maisons citoyennes », foyers d’accueil, d’accompagnement et de réinsertion pour des femmes précaires avec enfants. L’objectif ? Parer au manque de place des foyers d’accueil, éviter aux femmes l’insalubrité des squats, remettre sur les rails ces femmes qui ont eu un accident de vie (chômage, maladie, divorce…) en ne les séparant pas de leurs enfants.

Plusieurs événements remarqués sont à notre actif : (« 1000 femmes pour l’égalité et la diversité », « le Printemps des femmes », « la nuit des femmes », « les cafés féminins ») et deux spots « des artistes dans la rue » avec Lara Fabian, Bruno Wolkowitch, Marek Halter et Fiona Gélin et « Un slam contre les violences » ont fait la lumière sur notre engagement.

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Femmes solidaires est un mouvement féministe, reconnu mouvement d’Education Populaire et bénéficiant d’un statut consultatif spécial auprès des Nations Unies. L’association défend les valeurs fondamentales de laïcité, de mixité, d’égalité pour les droits des femmes, de paix et de liberté.
Avec un réseau de 190 associations en France, Femmes solidaires agit pour faire reculer toutes les formes de discriminations et de dominations ; le sexisme et le racisme ; pour faire avancer
l‘égalité et les droits des femmes.
L’association s’adresse à toutes les femmes dans leur diversité en leur permettant de devenir actrices et d’oser une parole à l’occasion d’actions locales, des rencontres, des sorties culturelles…
L’association anime des permanences d’écoute pour conseiller, orienter et accompagner les femmes dans leurs démarches (sur rendez-vous).
Elle peut se porter partie civile dans les procès relatifs aux violences physiques et/ou morales (harcèlement sexuel, excision, mariage forcé…) faites aux femmes.
Femmes solidaires travaille avec des associations de femmes de différents pays pour défendre leurs droits et leurs libertés.
L’association engage de nombreuses campagnes internationales et développe « la solidarité réciproque » : lorsque les droits des femmes progressent dans un pays, cela encourage les autres femmes du monde à continuer leur lutte.
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Association d’Interventions, de Recherches et de Lutte contre la violence dans les relations lesbiennes et à l’égard des lesbiennes : discriminations au travail, viol familial, violence domestique, isolement en milieu rural, rejet familial… D’approche sociologique, l’association met en place des groupes de parole, réalise des études, propose des formations, et s’investit dans des actions de prévention et d’informations. Elle vise à combattre les effets hétérosexistes et lesbophobes de nos sociétés et à dénoncer le système hétérosocial qui les produit. 09.64.26.87.68 ­ [email protected]

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Depuis 2007, nous proposons des groupes de parole à celles ayant subi des viols ou des agressions sexuelles durant l’enfance ou à l’adolescence essentiellement. Ces groupes sont des espaces d’échanges et de soutiens non lesbophobes et non hétérosexistes, qui permettent ainsi de se protéger des préjugés souvent rencontrés dans un contexte normatif. (c-à-d qui pourraient faire l’amalgame entre viol et lesbianisme).

Nous déplorons le manque de mesures pour lutter contre le viol envers les femmes ; nous déplorons encore à ce jour l’invisibilité de ces questions ; nous déplorons le peu de cas qui est fait des conséquences qui en résultent ; et nous déplorons nombreuses réponses qui sont apportées aux femmes et aux lesbiennes qui osent déposer plainte (par exemple, le risque pour elles de se voir accuser de fausses déclarations – accusations pouvant alors concourir à ce que la garde des enfants se voit attribuer au père violeur).

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